Rééditions - Vol 5 & 6

Allez, on continue les re-upload avec les vol 5 et 6. Volume 6 qui compte double avec des smootheries rap pour les températures estivales qui nous rattrapent et qui tournera encore en corse dans la Merco. Le volume 5 présentent des artistes féminines affiliés à l'électro.

Volume Numéro Cinq: Les Femmes Aux Machines

Volume Numéro Six: Sunny Smooth Rap (Old & New School Sides)

Un Joint Et Un Café

Vu lundi (c'est pas cher!):

Bien intéressant surtout pour ceux qui ignorent tout de la vie de Bob comme moi. Quelques préceptes de la religion rasta sont aussi assez marrant. C'est surtout concentré sur sa vie et hélas, on ne parle pas beaucoup de musique, où en tout cas de manière assez superficielle. On a par exemple aucune idée de la relation entretenue par Marley avec les autre musiciens reggae de l'époque, ce qui m'aurait beaucoup intéressé. Mais très intéressant malgré la longueur (2h20).

Vu hier:

"Alors qu’il s’apprête à être père, David Wosniak, éternel adolescent de 42 ans, découvre être le géniteur anonyme de 533 enfants déterminés à le retrouver." Alors un peu déçu dans le sens où il y a un peu trop de bons sentiments et de gnan-gnan-tise mais on se marre quand même bien et il y a quelques scènes vraiment drôle. Son pote l'avocat est vraiment marrant. Bref, un bon moment décontracté, à 2€50, c'était parfait.

Rééditions: Volumes 3 & 4

Je continue à remettre à disposition les volumes précédents de mes compiles. Enjoy les volumes 3 et 4.

Volume Numéro Trois: Miles 69-72

Volume Numéro Quatre: Dub (Pas des gens dont ce n'est pas le métier)

It's A Long Long Night

Vu dimanche:

Premier film du duo Delépine/Kervern que je vois et on peut dire que ça m'a plutôt donné envie de continuer. Enchaînement de scènes, dont certaines assez surréalistes, j'ai adoré ce film. Poelvoorde est très très bon, dans un rôle demandant je pense plus de boulot que son compère. Il y a quand même quelques scènes mémorables (le pétage de câble de Dupontel face à son boss, le spectacle de Poelvoorde face à la vitre ou encore la double-scène du suicide où j'ai absolument explosé de rire dans le ciné). A voir, vraiment. Et une belle BO, avec notamment ce titre de Brigitte Fontaine avec Noir Désir, "Baby Boom Boom".


noir désir brigitte fontaine Baby Boom par farinedebledur

Rééditions - Vol 1 & 2

A la demande générale (enfin juste celle du Duke mais bon), je remets peu à peu les liens de toutes les compiles maison (même celles de rap Duke, car le rap, c'est bien Duke). On commence avec les deux premiers volumes, en attendant la suite.

VOLUME NUMERO UN : BLUES AND SOUL

VOLUME NUMERO DEUX: RAP FRANÇAIS EN 2010

 

Paperboys - Sons #51-60

Nouvelle et sixième compile des sons Paperboys. Grosse puissance sur celle-ci, de beaux enchaînements et un peu de tout comme d'hab. Merci à Marouane (et accessoirement Kate Upton) pour la cover. Allez, va chercher bonheur.

OVER THE SNARE // THUNDERCAT // UNION // KLUB SANDWICH // LAURENT GARNIER // 8BALL // BEASTIE BOYS // X-RAY VISIONS // THE WAGGONS // MEÏ TEÏ SHÔ

Quatre Albums En Attendant

Parce que mon labo bloque l'upload de fichiers depuis hier, je peux pas vous poster la nouvelle compile Paperboys mais ça devrait être fait demain. Du coup, j'en profite pour poster quelques albums découverts ces derniers temps, que j'ai kiffé et dont je n'ai pas eu l'occasion de parler chez les Paperboys. Alors...

Belle claque avec ce disque. Dans le peu d'albums du bonhomme que j'avais écouté, j'avais toujours trouvé dérangeant le côté un peu 80s, surfait, limite ringardos parfois. Autant de critiques absentes sur ce disque parfait, avec notamment une reprise de Tightrope de Janelle Monae avec Dr. John de haute volée.

Un classique de jazz-funk. Superbe. Les compos sont assez originales, ça passe crème. L'homme, comme son nom l'indique, est organiste.

Le gros Gab est de retour avec un album dans la pure veine Quannum. Rythmé, funky, bien rappé et très bien produit. Le format est assez court, comme souvent chez eux, donc un album qui passe superbement bien.

Ne vous arrêtez pas à cette pochette particulièrement réussie (la plus soft disponible). Riff Raff est un sacré personnage. Cocaïné, avec un serpent autour du bras, son style est débile au possible. Mais le gars rappe pas mal et sait choisir les bonnes prods sur lesquelles poser. A suivre.

Go Charlie!

Après un super weekend à Paris, où définitivement nous n'irons jamais vivre (je sais, faut jamais dire jamais), retour et direction le Ninkasi Kao pour un superbe concert. Tellement bien que j'en ai fait un court papier pour Paperboys.

Pour en lire plus, c'est par ici que ça se passe.

* Mais Tu Mourras Quand Même

Lu et passé direct au Padre:

Mise à saque des débilités scientifiques du cinéma et des séries. Superbement drôle. A lire absolument si vous avez l'occase. Le cas échéant, vous pouvez aller faire un tour sur le blog originel, c'est par là. Merci à la sœurette pour le cadeau!

Fini également:

Re-merci à la sœurette pour le cadeau (de Noël cette fois). Assez intéressant, surtout sur les images à portée un peu historique ayant une histoire intéressante à raconter derrière. On aurait sûrement aimé moins d'images et plus de contenu mais il y a de nombreux passages très intéressants. On se rend compte aussi qu'il y a tout un tas d'associations de réacs qui sont bien chauds du tribunal, ça donne envie de mettre des mandales mais en même temps, s'ils ont que ça à foutre...

Ma Foi...

Vu cette semaine:

"Avril est une jeune novice élevée dans un couvent. Elle s'apprête à prononcer ses vœux perpétuels, lorsqu'on lui révèle l'existence d'un frère jumeau. Elle part à sa recherche et se retrouve en Camargue pour deux semaines de vacances avec trois garçons..."

Non, il ne s'agit pas là du pitch de "Ceci Est Mon Corps IV: Gang-Bang au Couvent" mais d'un film français sympatoche. Duvauchelle n'est décidément pas un très bon acteur, surtout dans ce registre, au contraire des trois autres qui font un bon boulot. La fin du film est cependant assez calamiteuse et incohérente, mais bon, voilà, c'est bon enfant. Pas inoubliable.

Toute La Sainte Journée

Vu la semaine dernière:

Oui bah ça va pas mal. La bande-annonce annonçait un truc un peu trop propre. Certes, tous les acteurs pourraient faire du mannequinat, mais cette adaptation d'un roman supposé inadaptable est finalement plutôt réussi. Ce n'est pas le film de l'année mais on passe un très bon moment avec quelques passages du meilleur goût et le sentiment qu'entre voyage et fuite en avant la limite est parfois très fine.

Dans Les Caves De L'Oncle Chew - Volume Numéro Dix-Neuf

 Allez, on remet le couvert pour la dix-neuvième fois avec une nouvelle compilation. Cette fois-ci, vous y trouverez 11 morceaux de jungle et drum'n'bass du milieu des années 90. Des cigales en guise de charleston et des mitraillettes de caisses claires sur fond de petites mélodies. J'ai privilégié des morceaux relativement "tranquilles", sans trop de grosses basses du fond du Mordor. Appréciez. En tous cas, j'ai pris moi du plaisir à concocter ce petit machin d'antan.

Ça se télécharge en suivant ce lien.

Rundskop

Vu y’a quelques jours :

 


"Jacky est issu d'une importante famille d'agriculteurs et d'engraisseurs du sud du Limbourg. A 33 ans, il apparaît comme un être renfermé et imprévisible, parfois violent… Grâce à sa collaboration avec un vétérinaire corrompu, Jacky s’est forgé une belle place dans le milieu de la mafia des hormones. Alors qu’il est en passe de conclure un marché exclusif avec le plus puissant des trafiquants d'hormones de Flandre occidentale, un agent fédéral est assassiné. C’est le branle-bas de combat parmi les policiers. Les choses se compliquent pour Jacky et tandis que l’étau se resserre autour de lui, tout son passé, et ses lourds secrets, ressurgissent… "

Ambiance lourde, grise et sombre, comme la campagne flamande. Un sujet et des évènements dans la même veine. Un Matthias Schoenaerts impressionnant, bestial et flippant, autant physiquement que psychologiquement. On a l'impression qu'il peut exploser à n'importe quel moment et son physique de bœuf nous donne envie de le voir fracasser des crânes, ce qu'il finira par faire. Le scénario est très rondement mené je trouve et heureusement, les deux garagistes wallons un peu teubés nous permettent de décompresser. 

Como Esta

Vu ce weekend:

 

"Alex, comptable, et Béatrice, chauffeur de taxi, forment un couple sans histoires. Mais un soir, Alex se mêle au travail de la police lors d'un contrôle d'identité. Un engrenage implacable et absurde se met alors en marche : il se retrouve au poste, au chômage, et en clinique psychiatrique. Sauf que les fous, ici, ne sont pas ceux qu'on croit..."

On entre dans le royaume de l'absurde et du "je ne peux rien faire pour vous, désolé, ce n'est pas de mon ressort, je ne fais que suivre la procédure". Assez flippant. On s'imagine défoncer les flics et les médecins tant ceux-ci sont débiles et bas du front. J'aime bien Melki et Sandrine Kiberlain est toujours aussi fade, mais fait le boulot.

Nasdrovia!

Fini hier:

Avec une courte postface éclairante, notamment sur la clandestinité du bouquin avant sa sortie "officielle". Plein d'humour, on suit Vénédict, alcoolique total, dans son voyage en train de Moscou à Pétouchki, où il doit voir une maîtresse rencontrée bien entendu au cours d'une beuverie. L'auteur disserte et théorise sur l'alcoolisme, moque la société russe de l'époque mais aussi ses mythes et son histoire, le tout avec énormément d'humour mais avec une douce tragédie en fond. Un bouquin indescriptible et superbement plaisant.

Tripes & Boyaux

Fini y'a pas longtemps:

"Mai 1565. Malte. Le conflit entre islam et chrétienté bat son plein. Soliman le Magnifique, sultan des Ottomans, a déclaré la guerre sainte à ses ennemis jurés, les chevaliers de l'ordre de Malte. Militaires aguerris, proches des Templiers, ceux-ci désignent leur communauté sous le vocable de "la Religion". Alors qu'un inquisiteur arrive à Malte afin de restaurer le contrôle papal sur l'ordre, l'armada ottomane s'approche de l'archipel.
C'est le début d'un des sièges les plus spectaculaires et les plus durs de toute l'histoire militaire. Dans ce contexte mouvementé, Matthias Tanhauser, mercenaire et marchand d'armes, d'épices et d'opium, accepte d'aider une comtesse française, Carla La Penautier, dans une quête périlleuse. Pour la mener à bien, ils devront affronter les intégrismes de tous bords, dénouer des intrigues politiques et religieuses, et percer des secrets bien gardés.
Sur fond de conflits et de mystères religieux, cet ouvrage follement romanesque et d'une érudition sans faille témoigne d'un sens de l'intrigue remarquable. En explorant la mystérieuse histoire des chevaliers de l'ordre de Malte, Tim Willocks, porté par une langue aussi intense que réaliste, évoque autant Alexandre Dumas qu'Umberto Eco. Un classique immédiat.

Tim Willocks est né en 1957. Grand maître d'arts martiaux, il est aussi chirurgien, psychiatre, producteur et écrivain. Scénariste, il a travaillé avec Steven Spielberg et Michael Mann. Souvent comparé à James Ellroy ou Norman Mailer, il est l'auteur de six romans, parmi lesquels Bad City Blues (Editions de L'Olivier, 1999). Il vit en Irlande."

Un bon gros pavé et un roman historique sanglant et moderne.  On se régale et on se "détend" (si tant est qu'on puisse se détendre en lisant des descriptions de membres arrachés et de tripes en vrac). Je vous le conseille pour cet été, quand vous serez sur la plage en Corse. Vous n'y serez pas? Je vous raconterais.

Yes We Can, Ohe!

D'abord, rendons à César ce qui lui appartient, le titre a été trouvé par Dorian. Deuxio, voici un petit retour sur ce superbe weekend chez JB et un grand merci aux hôtes pour leur accueil.