Never Lose

Parker Lewis ne perd jamais... l'adresse de ce magasin de chemises de bon goût.

Va dire à la lice-po qu'on va brûler leur locaux

A Dam aussi, il y la police montée! Elle a peut être pas l'accent québécois mais elle déchire! Leurs chevaux bavent tellement qu'il feraient passer une actrice porno pour frigide... Quelle métaphore de bon goût... Je crois que je vais aller me coucher...

Pour mémoire, voici le meilleurs élément de son pendant au ministère de l'agriculture, la police démontée:

Coup'Tif'

Votre serviteur les cheveux aux vents il y a encore quelques jours...


Avant de passer entre les mains expertes (pour la coiffure bien sûr) de ma Marion...


Et parfois, je pète des boulons quand ma mère m'offre des caleçons... comment dire... je vous laisse vous faire votre propre opinion...

Le Rap Qui Fait Vraiment Peur

C'est pas les bodybuildes, etc... C'est les arraches... Flippant...



SETH GUEKO & 25G (NEOCHROME) - CABOCHARDS
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Citations de ce meme Seth Gueko (c'est le petit):

"Serre l'anus, v'là les suppôts de Satan…"
"On a l'ADN a Ben Laden mais on veut la BM a Ben Affleck"
"J'arrive, tête de roumain, zguegue de poulain... Tu peux pas faire plus masculin"
"La mort c'est un coup d'feu, la vie c'est un coup d'rein"
"Dans mon slip c'est soiree disco, Qui veut lecher mes boules a facettes?"
"Et j'te tiens, Et j'te traine par la barbichette, Le premier qui pleure on le noie dans la tartiflette"

Sans Dec'?

Avant de vous rebalancer des photos de mon pays gris (aujourd'hui mais sinon, c'est de mieux en mieux...Comment ca je porte un col roule? Et alors? Cela n'a rien a voir!), voici un article de liberation sur cette chere Rachida Dati. Des methodes toujours aussi democratiques et transparentes...

"Rachida Dati a un grand souci de son image, et multiplie les interviews. Mais pourquoi déteste-t-elle à ce point la contradiction ? Dimanche dernier, l’émission Ripostes, sur la 5, devait être consacrée au bilan de la Garde des Sceaux. L’équipe de Serge Moati nous a contactés. À l’issue de tractations délicates, Rachida Dati a refusé le juge et l’avocate, proposant des contradicteurs plus tendres. Serge Moati, dont nous saluons le courage, a préféré annuler l’émission plutôt que de se soumettre à de telles exigences.

Nous ne pouvons que regretter cette tentative de passage en force qui prive l’opinion d’un lieu de débat démocratique de qualité. Il faut dire que l’esprit de dialogue n’est pas le point fort de la ministre. Une fois enlevé son sourire conquérant, le style réel alterne agressivité et arrogance. On ne compte plus les groupes de travail qu’elle installe mais n’écoute pas. Celui sur la carte judiciaire en est l’illustration caricaturale. Inauguré en grande pompe, il n’a jamais fonctionné, la ministre préférant imposer autoritairement ses choix. Chacun connaît les raisons réelles des départs de ses conseillers : la désinvolture et la brutalité avec lesquelles elle les traite.

La politique qu’elle met en œuvre mérite plus que jamais un vaste débat. Les réformes qui portent son nom depuis près d’un an traduisent un bouleversement non seulement de notre droit, mais surtout des principes fondamentaux de notre société. Sommes-nous fondés à détenir à vie des personnes estimées dangereuses une fois leur peine purgée ? Peut-on traduire devant un tribunal des malades mentaux déclarés inaccessibles à une sanction pénale ? Les enfants et les adolescents doivent-ils ou non faire l’objet d’une justice particulière ? Peut-on appliquer des peines automatiques aux récidivistes ? Comment répartir les tribunaux en France ? Comment concevoir la prison aujourd’hui ? De telles interrogations méritent un débat réel avec des interlocuteurs qu’on ne puisse soupçonner de complaisance.

Si Rachida Dati a pour modèle absolu Nicolas Sarkozy, qu’elle aille jusqu’au bout d’une imitation qui a ses risques. Lui ne refuse pas le débat, si dur puisse-t-il être, même s’il tente parfois de choisir interlocuteurs et journalistes. Rachida Dati vit dans une bulle. Les récentes confidences qu’elle faisait, off, à une de ses amies, journaliste sur France 24, montrent qu’elle ne mesure pas son isolement et la réalité de la résistance à ses réformes. Ce n’est pas en refusant une fois de plus le dialogue qu’elle servira sa propre cause. Encore moins celle de la justice."

Alors moi, ca me fait un peu penser a ca:

Hehehe...Je suis diabolique...

C'est art, c'est beauté, c'est inspiration!

Lorsque vous vous baladez dans le Jordaan, le quartier riche et des artistes (anciennement) underground, vous pouvez tomber sur ce genre de choses (selon Larousse: nf. truc, bidule, objet. Ex: tu sais, chose là, ouais l'autre, bah tiens, celui qui sort avec une maman) (Promis, c'était la dernière).

Waouh, stylé!

A la limite mouais.

Ah non mais là je dis stop!

Que dire (sinon s'enduire... de tous les crimes)

Une grande roue a brosse à dents (selon Larousse: nf. Grande roue avec des brosses à dents à la place des humains. Ex: Etre beau père à vingt piges, ca me fait flipper comme une grande roue à brosses à dents). Ne me demandez pas où j'ai vue ce truc, j'en sais rien!

Chausse tes crampons

Et viens jouer au foot sur ma maison-bateau (selon Larousse: nfm . bateau dans lequel on peut vivre. Ex: Vivre dans une maison-bateau, c'est un style d'art de vivre comme partir au ski avec une maman.)

Blague pour initiés (très nombreux) à part, cela reste mon rêve... Le petit truc que tu aimerais bien accomplir...

La Chance aux Chansons

Sur cette placinounette (selon Larousse: nf. place de taille extrêmement réduite. Ex: "Tu savais que X s'était serré une maman à la soirée sur la placinounette?") où l'on rend hommage à de défunts animateurs de bals, j'ai réussi à faire jouer de la flûte traversière à Quelqu'Un avec un parapluie en public. Y'a pas un truc dans le Guiness Book pour ça?

A noter le nom du chanteur de la statue de droite: Johnny Jordaan. J'en connais un au Bénin que ça doit laisser songeur...

On ne change pas une equipe qui gagne!

Libe, aujourd'hui:

2007 ne s’est pas déroulée sans bavures

La commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) pointe à nouveau dans son rapport annuel (1), rendu public hier, des durées excessives de garde à vue, des cas d’utilisation systématique des menottes, d’usage «disproportionné» des armes de service, des fouilles à corps injustifiées et des cas de violences illégitimes.

Saisie en 2007 par des parlementaires de 117 nouveaux dossiers, la commission en a reçu et traité 73 visant des services de police et 21 pour la gendarmerie. Si 31 cas ont été jugés irrecevables, les enquêtes ont abouti dans 42 affaires à une «absence de manquements à la déontologie», 11 ont suscité une demande de poursuites disciplinaires et 5 ont été dénoncés au procureur pour enclencher une action pénale.

La commission a ainsi réclamé au ministère de l’Intérieur d’engager une enquête administrative contre un policier d’Elbeuf (Seine-Maritime) pour violation de son «obligation de diligence» parce qu’il a laissé plus de seize heures en cellule une jeune fille de 18 ans avant de l’interroger, l’a suspectée de fausse déclaration de vol de sa voiture, puis l’a libérée au bout de vingt-sept heures. De plus, la jeune femme, enceinte, a subi une fouille à corps injustifiée.

Des policiers de Pierrelaye (Val-d’Oise) ont entravé un motard qui venait pourtant d’obéir au contrôle routier en s’arrêtant aussitôt et en coupant le moteur. Un «usage vexatoire» et «inutile» des menottes souligné par la CNDS. Une pratique carrément «abusive» lors de l’interpellation par la brigade anticriminalité de Montpellier d’une automobiliste suspectée à tort de conduire un véhicule volé alors qu’elle en était la véritable propriétaire.

Le rapport raconte aussi le cas d’une femme interpellée en état d’ivresse manifeste et placée de nuit en cellule de dégrisement au commissariat d’Annemasse (Haute-Savoie), et qui a fini par se pendre avec son pantalon. Le «défaut de surveillance» était tellement manifeste que les fonctionnaires présents ont découvert son corps «trois ou quatre heures après son décès». Neuf policiers ont été sanctionnés par des blâmes ou des admonestations.

Par ailleurs, relève la commission, un policier toulousain qui a projeté à terre un étranger reconduit à la frontière puis l’a roué de coups de pied, fait l’objet d’une enquête de la police des polices.


Dans ce cas, ne changeons pas le discours, surtout quand c'est aussi bon!



Pour ceux qui pense a juste titre qu'ils n'apprennent pas grand chose sur les Pays-Bas avec ce blog: vous avez totalement raison mais Amsterdam est petit les gars!
Marion arrive ce weekend donc on va se ballader si le temps le permet (aujourd'hui grand soleil, trop bon!) et vous aurez les photos. \
Et puis le weekend d'apres, j'acceuille la familia (Fau et la Madrecita).
Enfin, du 10 au 12 mai, festival de jazz a Middelburg, pres de chez gus avec Archie Shepp, E.S.T. et Maceo Parker! Et ce pour seulement 35 euros!

Chilly Gonzo & les autres

Yo a toutes et a tous! Je suis deja en train de manger des pates depuis un certain temps afin de preparer mon prochain passage a la FNAC (prevu au cours de mon prochain retour sur Lyon du 25 avril au 5 mai). Parce qu'il y du nouveau et pas des moindres:

Gonzales - Soft Power

J'avais lu sur le site des inrocks que maintenant qu'il collaborait avec Feist, qu'il avait ete nomine aux Grammy et qu'il buvait regulierement le the avec Jane Birkin, ce grooveur hors-pair voulait a son tour faire un disque d'elite. C'est a dire avec du chant, des chansons qui parlent d'amour et un studio qui coute tres cher. Le resultat sort aujourd'hui. Une video rigolote en attendant.

Gonzales "Slow Down" Singing Lesson
by gonzales


Les Svinkels - Du pq pour mon trou-trou

Non, vous ne revez pas (putain, je suis plie de rire a chaque fois que je pense a ce titre), les createurs du slip-hop reviennent et voila ce que ca va donner. (je suis mort de rire, mon trou trou!!!!)


teaser "du pq pour mon trou trou"

Sous les paves la Rage - D'apres une selection de Ekoue (La Rumeur)

Voila ce que l'auteur lui-meme en dit:

Le quarantenaire des évènements de Mai 68 mobilise l’ensemble des acteurs médiatiques. On assiste depuis ces derniers mois à une profusion d’articles, d’ouvrages, souvent issus de la plume inspirée des «habituels » cerbères du temple de la mémoire de 68 : historiens, sociologues, politologues, leaders syndicaux, parlementaires, bref, toute la gamme des intervenants, rompus à l’exercice de la prise de parole publique. Dépositaires de la dite « pensée unique » pour les uns, symboles vivants d’une société en mouvement qui a su s’affranchir de tous ses conservatismes, pour les autres.

Une chose est sûre, les récentes envolées lyriques de Sarkozy, lequel prévoyant de liquider l’héritage de 68 comme l’on « karshérise » les quartiers populaires ainsi que les populations qui y vivent, ne sont pas sans conséquences sur la vivacité des débats et sur leur omniprésence dans l’espace public. Quarante ans plus tard, tous les ferments d’une société au bord de l’implosion sociale sont réunis : une présidentialisation du système politique, autrement dit, la concentration abusive de tous les pouvoirs entre les mains d’un seul homme, un sentiment accru de promesses de campagne électorale non tenues, une conjoncture économique désastreuse, un chômage massifié notamment chez les jeunes (diplômés ou non), une précarisation du mode de travail, des révoltes urbaines récurrentes qui se caractérisent temporellement par une montée en grade du niveau des violences, etc. Face à cet enchaînement de drames, la question qui consiste à savoir « quels sont les héritiers de Mai 68 ?» apparaît comme bien anecdotique, dès lors qu’elle ne témoigne que des frustrations de quelques leaders d’opinion post-soixante huitard qui se chahutent leur bout de « pavé ».

Les révoltes de Novembre 2005 et plus récemment d’Octobre 2007 sont venues nous rappeler, qu’il existe en France une génération se revendiquant d’un héritage qui peine à trouver sa place dans les constats officiels de l’histoire des luttes sociales de ce pays. Des répressions sanglantes du 17 Octobre 1961 aux bavures policières sans lendemain de Damary les Lys. Cette génération tant décriée, qui porte les stigmates d’une culture réfractaire à la libéralisation des moeurs et encline à l’obscurantisme religieux. Une génération à laquelle il faut tout apprendre, y compris à se révolter.

De toute évidence et dans un tel climat de criminalisation de la jeunesse des quartiers pauvres, le rap a son mot à dire. Seule forme d’expression artistique commercialement viable à connaître aujourd’hui les foudres de la censure d’état et que l’on confine dans les poubelles des circuits de diffusion officielle. Ce rap qui interpelle la société civile depuis plus de 20 ans et se confronte au mutisme ou à l’hostilité des pouvoirs politiques. Ce rap qui raisonne par la véracité de ces constats chez les premières victimes de l’exclusion sous toutes ses formes : qu’elles soient sociale, spatiale ou économique. C’est pour ainsi dire ce rap-là qui nous intéresse. Le projet de compilation « Sous les pavés la rage » est parti d’une idée simple : réunir en une quarantaine de titres, ce que la scène du rap hexagonal a produit de plus dangereusement prémonitoire sur l’évolution de la situation sociale en France.

Ekoué (La Rumeur)

Et puis des trucs dont je vous avais deja parler ou dont vous avez du entendre parler:

Baloji - Hotel Impala

Camille - Music Hole

Bashung - Bleu Petrole

Récup'

Voila mon nouveau bureau en bois de Santal de Bamako! 100% Récup dans la street! Et ouais ma gueule! Revon, Victor et Gus seront contents de savoir qu'ils n'ont pas porté les pieds qui pèsent lourd pour rien(c'est pas de l'amandier de Bavière pour rien). Alors que je pensais les remettre dans la rue après plusieurs semaines, voilà que je trouve enfin le plateau tant espéré et, magie du hasard, une chaise le même jour (en Noisetier du Surinam). Groovy! Le problème est que je n'habite pas dans un quartier riche, alors les trucs qu'il y a dehors sont assez pourris mais la, c'est relativement correct. Mais ici, les gens font souvent leurs emplettes de meuble sur le trottoir, peut être parce que ce qui se fait d'habitude sur le trottoir se fait ici dans des boutiques!

L'avocat de la terreur

C'est en regardant ce documentaire sur Vergès (merci Pipo) que je me suis rappelé que j'avais l'Ennemi Intime sur mon ordi et qu'il serait peut être temps de le regarder. Les faits et les interrogations sur la vie de Vergès rendent ce film plus prenant (pas à cause des évènements décrits mais parce que l'on veut savoir la suite et que c'est un personnage mystèrieux). Comment peut-on passer de la défense de combattants algériens à celle de nazis, dictateurs sanguinaires et de terroristes sans cause? Probablement par mégalomanie ("Vous n'êtes tous qu'un 40ème de moi." dit-il aux 40 avocats qui sont opposés à lui au procès Barbie). J'ai quand même eu un peu le sentiment que l'on voulait nous le présenter comme "sympathique" (je ne trouve pas vraiment le mot juste) et qu'il fallait garder tout au long du film dans un coin de sa tête la liste de ses clients pour ne pas tomber dans le panneau. Mais, bien que centrer sur lui, on en apprend de belles sur les relations entre les chefs d'Etat ou chefs de mouvement rebelles africains (du nord au sud de l'Afrique) avec l'idéologie nazie. Effroyable également. La aussi, je vous le conseille.

L'ennemi intime

Je suis encore complètement en vrac... Je n'ai vu que les deux premières parties de ce documentaire mais, même s'il est bientôt 14h, je n'ai pas vraiment envie d'aller déjeuner... Il s'agit d'un documentaire sur la guerre d'Algérie. Avec des témoignages de soldats français. C'est d'une violence inouïe. J'ai le ventre retournée. Pas seulement à cause des images qui montrent ce que c'est que la guerre, les cadavres, les exécutions... Je ne sais pas quoi dire, c'est toutes ces atrocités, je ne sais pas comment un homme peut survivre à cela. Même s'il n'a été que témoin et non acteur (ce qui n'est pas le cas des soldats qui racontent ici).

Ce que je peux vous dire, c'est que je vais tous vous le mettre sur votre ordinateur et que devrez tous le voir. C'est l'histoire de la France. On apprend beaucoup et on n'est dégouté par l'état français. Les méthodes du FLN pour mettre le peuple algérien de son côté et apparaître comme son seul représentant ne sont pas glorieuses non plus....

Le 8 mai 1945 n'a pas été une fête pour tous le monde. Et le 17 octobre 1961 ne devrait pas être une date inconnue des étudiants français. Procurez vous ce documentaire et regardez le.

Liens:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_du_17_octobre_1961 (je n'aimais déjà pas le Figaro mais alors là!)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_S%C3%A9tif

Desole mais bon...

Faut bien rigoler de temps en temps!

Le fonkhaka
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Ouaich Ronald!

Yo les gadjos! Au detour d'un forum sur Nova, je decouvre cet homme. Ce nouveau Ronald qui va vraiment faire de l'ombre au grand clown. Serieux, il me fait trop rire et franchement (desole Paulo) mais il dechire deux fois plus que la compilation Chiantissimo vol. 44! Hehehe! Je rigole Palui! Bon je vous mets deux videos. Y'a des trucs un peu nuls parfois mais il est bon franchement. Au fait, il s'appelle Ronald Jenkees.

Et une question pour les gars qui trainent sur internet: tout le monde dans leur commentaires lui dit OMG. Ca veut dire quoi. Mega lol mdr, bande de batards de jeunes!

Backchich 89

Petit point info. Outre les sites des quotidiens nationaux (El Mundo, Liberaciòn y El Cuìn Cuìn Enchenado (solo en papel)...) dans lesquels je vous conseille d'ailleurs de regarder les encarts EN BAS de la page si vous ne voulez pas entendre parler de Carla déguisé en moine tibétain qui insulte les ch'tis dans la jungle colombienne, je vous conseille (c'est peut etre pas le mot mais en tout cas, ça vaut largement un coup d'oeil de temps en temps):
Rue89.com pour le truc propre mais intéressant (sauf quand ils passent des vidéos d'économistes (Fitoussi) qui parlent comme des politiciens, aaaargh, ça m'énerve) et avec des détails et des relevés d'erreurs volontaires ou non assez intéressants.


Bakchich.info déjà vraiment beaucoup plus fouille-merde (c'est ça qu'est bon) mais qui peut sortir des scoops intéressants, fait assez rare pour être souligné.

Par contre, un seul point noir à tous ces sites et une mise en garde: ne lisez pas les réactions des lecteurs. Sur Rue 89, ils viennent de la lune, sur Libé, ils veulent brûler la société de derrière leur bureau (ce sont les pires!), sur Le Monde ça va à peut près même si on trouve des gens qui ne se sont pas encore rendu compte que Sarko leur a mis profundo et sur Bakchich, on peut lire "Répondre poliment et sans gros mots", ce qui peut toujours servir en effet.