Le Dieu Du Carnage

Vu hier:


" Dans un jardin public, deux enfants de 11 ans se bagarrent et se blessent. Les parents de la "victime" demandent à s'expliquer avec les parents du "coupable". Rapidement, les échanges cordiaux cèdent le pas à l'affrontement. Où s'arrêtera le carnage ? "

Adapté d'une pièce de Yasmina Reza. Huis clos superbement comique avec un Christoph Waltz au top de sa forme. Et la punchline de l'année (par Waltz d'ailleurs): "J‘ai vu votre amie Jane Fonda l‘autre jour à la télé, j‘étais à deux doigts d‘acheter un poster du Ku Klux Klan" Où comment les pacifistes moralisateurs nous les brisent.

Paperboys - George Wassouf

George Wassouf comme cadeau de Noël chez les gamins de papier. C'est ici.

Les Citronniers

Vu hier:
"Salma vit dans un petit village palestinien de Cisjordanie situé sur la Ligne verte qui sépare Israël des territoires occupés. Sa plantation de citronniers est considérée comme une menace pour la sécurité de son nouveau voisin, le ministre israélien de la Défense. Il ordonne à Salma de raser les arbres sous prétexte que des terroristes pourraient s'y cacher. Salma est bien décidée à sauver coûte que coûte ses magnifiques citronniers. Quitte à aller devant la Cour Suprême afin d'y affronter les redoutables avocats de l'armée soutenus par le gouvernement.
Mais une veuve palestinienne n'est pas libre de ses actes surtout lorsqu'une simple affaire de voisinage devient un enjeu stratégique majeur. Salma va trouver une alliée inattendue
en la personne de Mira l'épouse du ministre. Entre les deux femmes s'établit une complicité qui va bien au-delà du conflit israélo-palestinien. "

Un beau petit film. Après les derniers échecs que nous avons essuyé ("Le Fils", "Dans Paris"...), c'était suffisant à notre bonheur. L'expropriation en toile de fond où comment Israël fait ce qu'il veut. Le combat individuel comme symbole du combat national et les remords et amertumes de certains israéliens.

Networking

C'est Noël, Papa Noyel vous a gâté, vous avez le bide bien remplie de bonnes choses, vous avez pris quelques jours de vacances et vous en profitez pour taper des records de grasse mats. Bref, tout va bien. Sauf que vous aimeriez bien être chatouillé un peu, vous sentir un petit peu peu vénère. Un petit peu de moutarde qui vous monte au nez. Quoi de mieux pour cela que de regarder un documentaire sur la Françafrique!

La base pour ceux qui s'intéressent au phénomène. On part d'une idée simple: au lendemain des indépendances africaines, le bon vieux Général veut assurer à la France une sécurité énergétique. Qui dit sécurité énergétique dit investissements lourds des compagnies françaises en Afrique. Et afin de réaliser ces investissements sans risque, ces compagnies ont besoin de stabilité politique. C'est sous ce couvert que la France va faire et défaire à son gré les différents régimes politiques de son pré carré africain, avec pour centre névralgique le Gabon d'Omar Bongo.

Le documentaire, diffusé dans Infrarouges sur France 2 en octobre, se divise en deux parties. Alors que la première s'intéresse à l'après guerre et la mise en place des réseaux de Focard, la seconde nous montre comment les rapports de force évoluent après la chute du mur (rendant obsolète la mission donnée à la France par l'Occident de stabiliser la région) et l'éclosion de l'affaire Elf. Les réseaux préférentiels français sont moins prégnants et les chefs d'Etat Africains, même les plus fidèles et redevables, n'hésitent plus à faire jouer la concurrence internationale dans les investissements énergétiques.

Comme je l'ai dit, ce documentaire, basé sur un an d'enquête et contenant des interventions de personnages impliqués dans le système qui, à part quand il s'agit des plus basses œuvres, parlent de manière tout à fait décontractée, brosse une belle introduction au sujet. Il insiste cependant beaucoup sur l'enrichissement économique des compagnies énergétiques et les contrats gagnés par la France, et un peu moins sur l'enrichissement personnel ayant cours pour les nombreux intermédiaires du système. A ce propos, l'ouvrage de François-Xavier Verschave, "La Françafrique", brosse un tableau encore moins reluisant où nombres d'élus français entretiennent un train de vie dispendieux uniquement en tant que porte-valises ou intermédiaires plus ou moins utiles.

Bien entendu, ni gauche ni droite, aussi forte soit l'auto-proclamation de propreté et d'attachement aux droits de l'homme, ne fera quoi que ce soit pour faire évoluer ce système. Il en va sans doute de l'intérêt suprême de la France. Comme en commerce international, c'est toujours faîtes ce que je dis, pas ce que je fais: nous demandons l'ouverture des pays émergents à la concurrence pour les produits où nous sommes de forts exportateurs, puis n'acceptons pas qu'ils puissent eux exporter leurs produits chez nous en protégeant de manière outrageuse l'agriculture européenne. Bref, vous voilà maintenant avec le nez qui pique. Et ce n'est pas plus mal.

Dans Les Caves De L'Oncle Chew - Volume Numéro Douze

Allez puisque c'est Noël, votre oncle préféré vous lâche une petite compile avant les fêtes. Deuxième compile dédicacée à un seul artiste (après Miles Davis), il s'agit cette fois de PJ Harvey. Vous y trouverez un ou deux morceaux par albums sortis jusqu'ici. Le tout en essayant de faire un truc cohérent. Polly Jean est une très grande artiste qui a su transformer son son au fil des albums. Bref, je pense que vous passerez une petite heure sympa.

Le tout se télécharge en suivant ce lien.

Paperboys - Compile #21-30

Comme prévu retrouvez la nouvelle compile Paperboys avec les sons du moments numéros 21 à 30. Au programme, Evidence, Jimi Hendrix, Archie Shepp, Roman Flügel, Redinho et autres plaisirs du tympan. Téléchargez ça, ça passe tout seul.

Ça se chope en cliquant ici même.

Et non

Vu hier:

• 2001 : Nous deux - court métrage
• 2002 : 17 fois Cécile Cassard
• 2002 : Tout contre Léo - téléfilm
• 2004 : Ma mère
• 2006 : Dans Paris
• 2007 : Les Chansons d'amour
• 2008 : La Belle Personne
• 2008 : Hôtel Kuntz - court métrage
• 2009 : Non ma fille tu n'iras pas danser
• 2010 : Homme au bain
• 2011 : Les Bien-aimés

Ceci est la filmographie de Christophe Honoré. Retenez bien tous ces films. Et soyez sûrs que vous ne les regardez jamais. J'avais, je crois, été assez indulgent avec Les Chansons d'Amour, mais là, ce n'était pas possible. Alors qu'il y a Guy Marchand dans le film. Putain, réussir à foirer un film avec Guy Marchand...

Braquo C

Terminé il y a peu:


L'objectif était de réussir à arriver au niveau des meilleures séries du genre, produites outre-atlantique. Seulement voilà, on arrive pas au niveau des Sopranos ou de The Wire mais plutôt vers les block-busters US. Dialogues caricaturaux (avant de commencer une séance de torture, l'acteur se tourne vers la caméra et nous sors un "Bienvenue à Guantanamo" du plus bel effet, ouch), surjeu, personnages unidimensionnels (celui de Duvauchelle notamment), scénario parfois difficilement croyable... Bref, au lieu d'être une super série qui fait réfléchir, Braquo est juste une énième série qui détend à mater comme ça.

Le Fils

Wow. Dans mon palmarès des films soporifiques et ennuyeux, je mets celui-ci juste derrière "L'Enfant Sauvage"... Sérieusement, 75% du film doit être du silence, j'ai trouvé la réalisation horrible (on voit la nuque d'Olivier Gourmet en gros plan pendant la moitié du film). Bref, horrible. Mon premier film des frangins Dardenne. Et beh. Une caricature de film d'auteur. Même le jeu de Gourmet n'a rien d'extraordinaire, tout est très attendu. Bref...

Faîtes Du Bruit

Vu mardi en transit à Munich:


Merci à Gus, c'est un putain de film ce truc. Des zicos créent une symphonie pour "une ville et six percussionnistes" et font leur quatre morceaux tout en étant poursuivis par la police qui cherchent à savoir qui sont ces gars. Les morceaux sont mortels, hâte de choper la BO. Un super film, vraiment, avec ce petit côté nordique complètement barré qui va bien.

Ici le premier morceau "Doctor, Doctor, I want Gas In My Ass". Parfait.

Paperboys - Roman Flügel

Chose promise chose due, nouveau(x) son(s) des Paperboys avec Roman Flügel. A venir la compilation des sons 21 à 30 et une nouvelle "saison" qui commence. C'est par ici!

Son En Vrac

Occupé par Paperboys, ça faisait longtemps que je n'avais pas balancé quelques albums en vrac, comme au bon vieux temps du blog. Voici donc.

The Roots sortent un nouvel album donc, comme d'habitude, c'est une très bonne nouvelle. Un concept: raconter la vie, en ordre inversé, d'un habitant fictif de Philadelphie qui tombe dans le trafic de drogue. Et quelques très bons moments pour album court. Et une superbe photo en pochette.



Roman Flugel - Fatty Folders. Un bon album qui même techno et toutes sortes de choses y ressemblant (électro old school, house, rythmes plus tropicaux, etc...). Une très bonne surprise. A venir chez les Paperboys, probablement.



Taïpan sort un nouveau clip en attendant une mixtape en début d'année prochaine. Le clip est très bien réalisé et la plume de P.A.N. toujours aussi aiguisée. A noter qu'il signe aussi la prod, tout aussi réussie (l'inspiration de son producteur habituel, C.H.I. se fait sentir).

Beaujolais - Deuxième Episode

Il y a de ça un moment, on a montré notre amour du Beaujolais (la région hein, pas le truc qui pique), en parcourant 12,8 km sur ces routes, et ce, en un temps tout à fait respectable. Je vous recommande d'ailleurs, pour ceux que ça pourrait intéresser, cette course. Une super ambiance, des gens déguisés n'importe comment, des arrêts beaujo possible tous les kilomètres, des gens le long de la route qui t'encourage, te file à boire, vraiment super. En plus, les paysages le long du parcours sont vraiment sympas.

On file ensuite à Chamelet chez Blaise et Astrid pour une heavy crêpes party bien méritée. Et un brunch tout aussi heavy le lendemain. De l'air frais, un feu de cheminée, bref, une superbe soirée.






Et en plus on était en sécurité, protégés grâce à des "pièges à feu".

Paperboys - Archie Shepp

Nouveau son chez les gamins de papier. Ce bon vieux Archie est à écouter par ici.

En vrac

Vu il y a un petit moment:


Bon bah c'est très drôle, en tout cas bien mon humour. Pas de pathos, traitement sans trop de stéréotype, bref un très bon moment pour une bonne petite comédie française. Tellement rare une bonne comédie française, on va pas s'en plaindre. (Par contre les yeux mouillants sur l'affiche c'est pas possible là merde).

Lu il y a un petit moment:

Mieux vaut tard que jamais. J'ai adoré. Vraiment. La loi du marché à son paroxysme, les enchères à la baisse, celui qui travaillera le moins cher. Il va falloir que je mate le film maintenant. Sinon, je suis en train de relire "The 48 Laws of Power" et c'est toujours super bien.

Last but not least, après la grève, très bientôt sur vos écrans:

NBA's back for Xmas BITCHES!

Pervers Pépère Gangster

Je vous dirais bien que j'aime ce clip pour sa réalisation, ses couleurs, son montage, le grain de l'image, mais je doute que vous me croiriez. Alors appréciez ce bon son et... le reste.

King Fantastic - Why Where What (HD video) from ZorKin on Vimeo.

Paperboys - Fulbert

Une fois n'est pas coutume, un gros morceau de house à l'ancienne, bien chaud et funky, que vous retrouverez chez les gamins de papier. Shake your booty.

Beaujolais - Premier Episode

Retour sur les épisodes précédents avec ce petit samedi d'il y a quelques semaines passé dans le Mordor (en vrai le bled s'appelle Mardore), dans le Beaujolais, chez le Seb. Bien agréable. A noter les citadins qui ramassent douze champignons tout en savant pertinemment qu'ils n'y connaissent rien donc qu'ils risquent de mourir s'ils les mangent et qui décident donc d'ouvrir la boîte de champignons de Paris.

Dans Les Caves De L'Oncle Chew - Volume Numéro Onze

Nouvelle petite compile de votre tonton préféré. Cette fois-ci, autour de la musique africaine. Bénin, Angola, Nigeria, Togo, Ghana, etc... Plutôt courte, mais pleine de groove et de pépites, notamment tirées des sorties du label Analog Africa. Le tout sort directement de la pltine vinyle, c'est pourquoi vous entendrez parfois quelques craquements ou autres bruits bizarres. Je suis à fond dans ce type de grooves africains, donc vous aurez d'autres sélection à venir autour de ça. Profitez du soleil et bonne semaine!



Ca se télécharge en cliquant ici.

Message de Salut Public

J'ai plein de choses bien plus intéressantes que ça à raconter. Mais il s'agit là d'une mission de salut public que je ne peux refuser. Nous avons diner hier à Oto-Oto:

C'est très joli avec des igloos en polystyrène et tout et tout, mais vous aurez vite fait de vous laisser avoir comme ce critique à la con de l'Express.

En en rajoutant un peu, on pourrait dire que la serveuse, et probablement maîtresse de maison, ferait passer un Kapo d'Auschwitz pour un enfant de cœur. Pas un sourire, des commandes à réaliser dans le temps imparti (4,7 secondes, sinon, tant pis pour vous, c'est trop tard), en tant que client, vous recevez des ordres, ce qui est toujours agréable. Elle connait les prix de ses plats qui, concept intéressant, ne sont pas ceux indiqués sur toutes les cartes du restaurant. Elle ne prends pas la carte bleue... et n'a pas de monnaie. Elle vous engueulera si vous non plus, vous n'en avez pas (Vous aurez beau lui répondre que, par définition, il ne distribue pas de pièces dans un DAB, cela ne changera pas grand chose). Détail intéressant, la porte coulissante automatique vous empêche de rentrer dans le restaurant si personne ne vient vous ouvrir. Goulag style.

Et la cuisine me direz-vous? C'est sympa. Sans plus. Du japonais "de base", rien de bien folichon. Rien tout court serait-on tenté de dire d'ailleurs. Marion avait dans son assiette non pas un, ni deux, ni même trois mais bien quatre raviolis frits. On frise la surabondance. Pour la maudique somme de 6,50€ en même temps, que pouvait-on demander de plus. Quand à moi, après avoir pris une entrée et un plat de taille "normale" (le "normale" fait ici référence à l’appétit d'un lapin nain normal, ce qui prête à confusion quand on ne le sait pas), le tout pour 12€, je n'avais qu'une envie... manger. Et puis si vous voulez boire un coup, la bière 33cl est à 4,5€, au cas où vous soyez encore concerné par l'ISF. Bref, de la branlette bobo(lchévique pour l'accueil).

La seule chose positive que je me suis dit, c'est qu'on pouvait se barrer sans payer, puisqu'on allait se barrer sans manger. Laissons la parole à un artiste engagé qui a lui au moins le mérite de nous faire rire.



Rendez-vous très vite pour des choses plus intéressantes.

Paperboys - G-Side

Nouveau son chez les gamins de papier. Nouvelle bombe signée G-Side issu de l'album iSLAND sorti le 11.11.11. Au même endroit que d'hab.

C'est Du Vol!

Vu récemment :

Je n’y connais pas grand-chose en snow board. L’avantage, c’est qu’on n’a pas besoin d’y connaître grand-chose pour apprécier les ralentis sur les sauts énormissimes de ces fou-dingues de la glisse. Alaska, Canada, Chili, etc… le voyage est somptueux, et les paysages, comme le veux le cliché, sont à couper le souffle. Red Bull finance le tout, et cela se voit, mais j’ai adoré le voyage et spécial dédicace au pétage de boulon du mec emporté par une avalanche et qui, relativement miraculeusement, arrive à s’extirper de la coulée. Il est toujours sur mon ordi si ça vous intéresse, bonne qualité à mater sur grand écran, dîtes moi si ça vous intéresse. Voici le trailer.

Dans Les Caves De L'Oncle Chew - Volume Numéro Dix

Nouvelle compile autour du label électro NMBRS. J'ai essayé, pour une fois, de pas trop mal construire la compile, avec une entrée plutôt smooth, une suite plus club et dansante et une fin assez dark. Les sons issus de maxis, seules trucs sortis par le label, en vinyle. J'espère que ça vous plaira. Leur site est à cette adresse.

Je viens de me rendre compte du M manquant sur la pochette, pas le courage la changer et de reuploader le fichier.


C'est téléchargeable ici même.

Bonnes Nouvelles, Bonnes Nouvelles

Lu il y a un plus ou moins petit bout de temps maintenant : La Klasse de Buzzati. Beaucoup d’aventures très courtes, des plus simples au plus incongrus et folles (comme la dernière partie). La nouvelle est vraiment un art, la création d’une intrigue (dans le sens premier du terme, quelque chose d’intrigant) dans la limite imposée de quelques pages est parfaitement maîtrisée par l’italien (même si je ne suis sans doute pas le meilleur juge). On prend beaucoup de plaisir à lire ces nouvelles, certaines étant vraiment délectables, d’autres nous emmenant très loin. Un classique je crois.

L’auteur n’est autre que l’écrivain du livre dont a été adapté Fight Club. On plonge ici dans l’Amérique incongrue et bizarre, celle qui organise des festivals ou des tournois pour n’importe quelle stupidité, qui est très soucieuse de son apparence, celle qui est parfois incompréhensibles pour les pauvres européens que nous sommes. J’ai trouvé le bouquin assez inégal. Il y a de très bons moments (les parties sur la lutte, les constructeurs de châteaux ou les combats de moissonneuses-batteuses par exemple), d’autres moins intéressants (la fin du livre notamment). L’aveu, assez rare pour être souligné, selon lequel les écrivains ne sont que des réarrangeurs (patchworks) de faits réels et vécus dans le but de créer une histoire qui séduise plus que la réalité et la réflexion autour de cette question sont assez intéressants. (Merci à Co d'avoir oublié le bouquin en Corse).

Nouvelles, c’est peut être même trop long pour décrire ce qui constitue ce recueil. Le format est très bref, parfois même juste un paragraphe. Juste quelques petits bouts de discours, quelques mesquineries, des pensées et autres observations. Simple et précis et parfaitement humain dans ce qu’il a parfois de plus nul et nombriliste. Quelques unes des nouvelles sont moins intéressantes mais d’autres sont justes parfaites (« Dernier Mail »). A lire, ça ne vous coûtera pas cher et vous ne prendra pas longtemps. Merci à la Madre pour la recommandation.

Paperboys - Jimi Hendrix

Petit revival de l'Experience du côté des Paperboys. Du nectar de guitare pour vos esgourdes.

Paperboys - Bandes Originales - La Suite

La suite de mon petit article sur les bandes originales.


C'est du très bon son et c'est ici que ça se passe. Enjoy.

Pas Lisse

Vu y'a un petit moment:

Allez-y vraiment. On alterne les moments terribles et heureusement les moments comiques pour arriver à survivre sur ce film pas facile. Les acteurs sont très bons (Viard, Starr, Foïs notamment), on retrouve une paire de Braquo aussi (Rocher & Duvauchelle), ça fait plaisir. Mais le film est superbe, à la fois touchant, dérangeant, drôle... Bref, je n'ai pas vu les autres films de Maïwenn mais allez voir ce "Polisse", je peux vous affirmer que vous ne le regretterez pas.

Crémaillère

Vous les vouliez, vous les avez, les photos de samedi. Super bonne soirée, même les flics ont été de la partie (ils sont arrivés tard, ils devaient avoir une autre soirée avant). Merci au Carlo pour l'ambiance de folie et le trimballage de matos! Les voisins de détestent je pense, et c'est bien comme ça. Merci pour Taggy Matcher et Mato (c'était d'eux les remixes?):

Taggy Tatcher vs Dr Dre - Next Episode


Mato vs. Luniz - I Got 5 On It

Salute Da Generals

Cette sensation s'appelle Cake!

Travelling Without Moving

Qu'as tu dans la bouche mon Francis?

Des blondes? Affirmatif. Des Rouquines? No Comment.

Vampailleurze

Le mieux serait que Do étrangle aussi François. Double Chaos.

Colgate Ultra Sensation Fraîcheur Blancheur Plus

Quelque chose vient de pénétrer l'anus de Dorian. Oui. Mais quoi?

Bégés!

"Ça fait guili-guili dans les burnes", Taïpan, 2009

Punk's Back From The Dead

Majax. Gérard de son prénom.