Si vous suivez le blog et notamment le rap que j'y poste, vous remarquerez qu'il n'y a pas grand chose là-dedans qui sort de la grosse pomme. Plus la côte et des MC un peu sclérosés, bloqués dans de vieux modèles un peu rances, à essayer de moderniser un style qui ne doit pas s'embarrasser de fioritures pour être percutant. Mais bien entendu, de temps à autres, une pépite surgit. Celle-ci date de 2010:
Un album pour l'hiver, genre pluie fine sur château d'eau. A l'ancienne. Des samples qui craquent et des drums old school. Deux petits extraits (un peu similaires mais qui pour moi capturent bien cette ambiance un peu glauque que j'adore) pour combler le manque de photos de cette deuxième journée où la pluie nous a décider à passer la journée dans les musées.
"It's A Crime"
"Ridin' Around"
La pluie au RDV, on file direct au Guggenheim.
Pas de photos à l'intérieur mais une très belle expo concentrée sur la période 1910-1918, très intéressant. On avait même fait les studieux (la preuve en image) en prenant la visite audio et c'est vrai que c'est plus instructif.
On traverse ensuite Central Park, sous cette petite bruine mentionnée plus haut.
Pour prendre la direction du musée d'histoire naturelle. On n'a pas croisé Ben Stiller, ni Alain Chabat mais c'était bien marrant.
A la sortie, un peu de shopping très vite fait si je me souviens bien, puis direction un petit bar écossais du Village (après être passé réserver les places pour un club de jazz pour le mercredi). Bien crevé. Mais le bar était vraiment sympa, petite musique folk, parfait pour décompresser avant d'aller dormir.
2 commentaires:
-"hey benjamin met ta main, on fera croire que tu donne a manger a cette grosse bête"
-"ho oui tu as raison, ca va être très rigolo"
-"hahaha c'était vraiment marrant, on fait pareil avec les dauphins?"
-"ouais!!!"
Dis toi qu'un des gardiens vient me voir et me demande si je suis un bon photographe. Je lui dis ouais pourquoi. Il me dit d'aller poser et faire semblant de donner à manger à je sais plus quelle bestiole et je lui dis "t'es gentil mon coco mais je t'ai pas attendu". Et oui, on est Fernandel où on l'est pas.
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