L'objectif était de réussir à arriver au niveau des meilleures séries du genre, produites outre-atlantique. Seulement voilà, on arrive pas au niveau des Sopranos ou de The Wire mais plutôt vers les block-busters US. Dialogues caricaturaux (avant de commencer une séance de torture, l'acteur se tourne vers la caméra et nous sors un "Bienvenue à Guantanamo" du plus bel effet, ouch), surjeu, personnages unidimensionnels (celui de Duvauchelle notamment), scénario parfois difficilement croyable... Bref, au lieu d'être une super série qui fait réfléchir, Braquo est juste une énième série qui détend à mater comme ça.
20 décembre 2011
Braquo C
Terminé il y a peu:

L'objectif était de réussir à arriver au niveau des meilleures séries du genre, produites outre-atlantique. Seulement voilà, on arrive pas au niveau des Sopranos ou de The Wire mais plutôt vers les block-busters US. Dialogues caricaturaux (avant de commencer une séance de torture, l'acteur se tourne vers la caméra et nous sors un "Bienvenue à Guantanamo" du plus bel effet, ouch), surjeu, personnages unidimensionnels (celui de Duvauchelle notamment), scénario parfois difficilement croyable... Bref, au lieu d'être une super série qui fait réfléchir, Braquo est juste une énième série qui détend à mater comme ça.
L'objectif était de réussir à arriver au niveau des meilleures séries du genre, produites outre-atlantique. Seulement voilà, on arrive pas au niveau des Sopranos ou de The Wire mais plutôt vers les block-busters US. Dialogues caricaturaux (avant de commencer une séance de torture, l'acteur se tourne vers la caméra et nous sors un "Bienvenue à Guantanamo" du plus bel effet, ouch), surjeu, personnages unidimensionnels (celui de Duvauchelle notamment), scénario parfois difficilement croyable... Bref, au lieu d'être une super série qui fait réfléchir, Braquo est juste une énième série qui détend à mater comme ça.
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