Vu lundi:
Commençons par un petit prélude. Je remercie Thalys pour avoir installé des prises de courant même en seconde. C'est très agréable, on ne dépend plus de sa batterie. Par contre, 1h de retard à l'aller et 45 minutes au retour, ça fait un peu trop. Croyez bien que je vais demander ma thune.
Lundi, lever 5h50 pour débarrasser le plancher (enneigé) parisien et retrouver Amsterdam. Hors de question de travailler dans le train après une nuit aussi courte. Alors, dans la chaleur du train, me voilà bercé par la voix grave de Gabin qui s'ébat dans l'écrin que lui ont confectionné Audiard et Verneuil. Ocean's Eleven 1.0. A peine sorti de prison, Gabin veut se tirer en Australie avec un bon paquet en poche. Un casino cannais sera sa cible. Avec un Delon très très bon. Je pense que ma génération et les suivantes auront du mal à saisir le mythe qu'il représente tant il apparait comme un [posez l'insulte de votre choix] à la moindre de ses apparitions aujourd'hui. Dommage, mais il nous reste toujours la possibilité d'aller chiner dans le passé.
Peut-être pas à la hauteur du "Deuxième Souffle" que j'avais adoré mais très classieux tout de même, comme l'est la scène finale d'ailleurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire