Mais ce ne sont pas tellement ce genre de trucs qui ont illuminé culinairement (et non pas cunilairement... désolé) mon weekend. Mais grâce aux parents de Marion (proposition très très rarement employé sans aucune ironie), on a pu aller à l'oeil dans un resto seychellois, Coco de Mer, à Saint Marcel. Juste le vin à payer, c'est plutot groovy, surtout que les menus étaient à 30€. Poisson cru mariné, daurade sauce coco, poulpe, bananes caramélisées... Je ne suis pas très poisson, mais là franchement, je suis ressorti enchanté. Chaudement recommandé si vous avez envie de vous faire un bon resto pas non plus extravagant au niveau des prix (pour Paris).
Autre table à recommandé, celle d'Astrid, une copine de Marion, qui nous a fait un grattin de ravioles aux épinards des plus sympathiques, suivi d'un fondant au chocolat très sympa. En plus, leur (oui, elle et son futur mari Blaise qui ne sera plus futur le 11 juillet, vous aurez un reportage complet sur comment je péterai la classe ce jour là) appartement est tout simplement "pète sa grand-mère la chauve". On regrettera juste (je t'aime bébé) la séance de karaoké à laquelle se sont adonnées les filles de la pièce (Banana Split et autre Je Te Donne résonnent encore dans ma pauvre tête) pendant que Matteo et moi buvions des coups. Je tenais également à signaler que Marion et moi avions gagné au Trivial Poursuite, yo yo, on est les meilleurs, ramassez vos dents.
C'est le dessert que sert l'abominable homme des neiges à l'abominable enfant teenage un amour de dessert BANANA NA NA NA NA BANANA SPLIT, wouh!
Ah oui, le titre de ce post, c'est parce qu'on logeait à Alesia. Merci à Rémi d'ailleurs, sponsor officiel de tous nos weekends parisiens. Et pas merci du tout à Thalys qui est en retard (impossibilité de fermer les portes du train à Bruxelles: comment voulez vous vous débarasser des stéréotypes génants sur nos voisons du plat pays après ça?) et qui, accessoirement, pratique une politique de prix d'enculé (ça fait du bien de le dire).
6 commentaires:
Hum, un sauc' aux herbes... ou un sauc' tout con mais bien sec...
J'oublie à chaque fois mais il est programmé à chacun de mes retours à Lyon de rappatrier 6-8 saucissons correspondant à 3-4 semaines de siège. Quand j'y pense, c'est la Saint Justin tous les jours, dès l'arrivée à l'aéroport, pour me consoler.
Pavlov et l'absence de petit dej' generent a l'heure qui l'est d'abondantes secretions salivaires a la lecture d'une potentielle Saint Justin... Je veux mon sauc'bien dur ou ma tranche de jambon cru de 4cm d'epaisseur avec du pain encore chaud... Je m'auto-torture la, donc je vais retourner a la vue de mon potentiel sandwich...
Perso, j'ai des radis et du poivron rouge... t'en veux ? J'partage volontiers.
A midi, j'ai pris le parti de manger le blinde de légume. J'ai capitulé, je sais que je ne ferai pas un bon repas, alors autant ne pas se faire mal au body.
(même si ca avait été un truc bon, j'aurais partag')
(bon, on arrête de se faire mal en écrivant/lisant le mot sauc', ok ?)
Ouais, nous on a un """resto""" a la fac (note le nombre de guillemets) donc j'essaye de taper dans la salade le plus possible mais le sandwich reste le benchmark (ouh yeah). Par contre, je ne pourrais pas manger des radis et des poivrons (crus, sans rien?), j'ai pas le mental assez solide...
Pas besoin d'être un Shaolin du légume, 'suffit de regarder les bedaines des collègues sédentaires.
Ouais ok. Si t'es entouré de gros je comprends. Enfin moi j'ai mandaté la petite qui arrive la semaine prochaine de me ramener UN SAUC'!!! Yeepee!
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